dimanche 9 décembre 2007

Des stickers

C'est la grande mode ! Quoi de mieux, effectivement, pour égayer ou personnaliser la chambre de ses enfants que ces nouveaux stickers décoratifs et repositionnables dont en entend parler dans les tous les magazines de décoration.

Voici donc quelques adresses - de bonnes adresses ! - où j'espère que vous trouverez votre bonheur.
Et si vous connaissez d'autres adresses, n'hésitez pas !!


Chez Paul et Léa, vous trouverez des stickers
en ardoise sur lesquels votre petit peut dessiner :
http://www.pauletlea.com/cat-stickers-ardoises-71.html



Les stick
ers poétiques de Lili Pouce :
http://www.lilipouce.com/



Les univers fun et multicolore à l'esprit BD de e-Glue :
http://www.e-glu
e.fr/



Les créas de graphistes branchés si
gnées Domestic :
http://domestic.fr



Les stickers chics signés, entre autres, de la designer Léonor Mataillet chez Art Sticker :
http://www.art-sticker.fr/




La branchitude rigolote des stickers Méchant Vinyl :
http://www.mechan
tvinyl.com/



Des stickers
à créer soi-même sur ActeDéco :
http://www.acte-deco.fr/



Chez Poisson Bulle, les stickers sont dessinés par de super illustrateurs pour la jeunesse :
http://www.poissonbulle.com/s/1902_decors-adhesifs-repositionnables-chambres-enfants



Et enfin, l'épure b
elge signée Apple Pie Design :
http://www.applepiedesign.be

Faire garder ses enfants...

Quand on est une parisienne active, dotée d'un job prenant, il est impératif de faire garder ses enfants.

Deux types de garde s'offrent à vous, le collectif ou l'individuel, c'est très clivé et les tenantes de la crèche sont sur des positions souvent opposées à celles qui préfèrent une nounou.

Le mode de garde collectif
C'est bien connu, c'est un des obsessions de notre maire Bertrand Delanoë : Paris, ville tonitruante très peuplée de bébés manque de crèches, il faut construire des crèches ! (et commencer à essayer de retenir les parents de ces bébés qui, très vite, fuient la capitale pour faire grandir leurs enfants plus loin).
Même si de nombreux efforts ont été fait durant sa mandature, le constat reste le même : vous n'aurez pas de place en crèche pour votre petit. Vous pouvez tout de même tenter d'avoir une place dans une crèche associative. Et si le coeur vous en dit, si vous avez le temps, l'envie, la capacité d'implication et surtout si vous supportez de faire une lettre de motivation pour cela : inscrivez votre petit dans une crèche parentale. C'est une structure gérée par des parents et chaque adhérent doit y donner un peu de son temps (il faut donc supporter de garder les petits monstres des autres au moins 1/2 journée par semaine).

La garde individuelle : nounous et ass'mat'
Respect du rythme individuel, calme, confiance donnée... Beaucoup de parisiens, parfois contraints et forcés par le manque de crèches, parfois (souvent !) par choix optent pour une nounou. Mais attention, il y a nounous et nounous.

Ass'Mat'
Vous pouvez faire garder votre loulou CHEZ une assistante maternelle agréée dont les coordonnées vous auront été données par votre mairie d'arrondissement. Ne pensez pas la choisir. C'est elle qui vous choisira. Elle a même l'embarras du choix. C'est le mode de garde préféré des parisiens. Peu cher, rassurant, stimulant et respectueux pour les enfants.

A la maison
Mais si vous souhaitez le confort total, que petitou reste chez lui, avec son lit, ses jouets et ses habitudes, il faudra vous lancer dans le recrutement d'une "garde d'enfant à domicile". La nounou. Celle qui vous fait basculer dans le camp des employeurs, celles qui vous permet de rencontrer l'Urssaf. Celle qui fait de vous un recruteur et vous emmène sur le doux chemin des entretiens d'embauche hasardeux. Pour avoir une nounou chez soi, toute la journée, dans son intimité, il faut savoir faire confiance. Croire en l'autre. Pas toujours évident. Et puis c'est très cher, malgré les nombreuses aides financières de la CAF et de la Mairie de Paris (d'autres mairies d'Ile de France aident également leurs administrés).

Garde partagée
Pour réduire les coûts et offrir à votre enfant de partager son quotidien avec une sorte de "frère de lait", optez pour la garde partagée. Là encore, il faut savoir faire confiance, savoir s'asseoir aussi sur certaines convictions, certaines habitudes, car il s'agit de faire entrer une autre famille dans sa vie. Un autre mode d'éducation, une autre histoire. Mais quand l'expérience se passe bien, c'est un vrai plus pour son enfant.

Quelques liens utiles...
Pour recruter une nounou, trouver une famille pour une garde-partagée : http://www.bebe-nounou.com/ et aussi http://www.bebe-annonce.com/
Pour tout savoir sur les assistantes maternelles : http://www.assmat.com/
Pour tout savoir sur l'accueil des tout-petits à Paris : http://www.paris.fr/portail/Solidarites/Portal.lut?page_id=6200
Pour devenir un employeur consciencieux : http://paris-servicesfamilles.com.fr ou http://www.employer-une-nounou.info/
Le site de la PAJE : http://www.pajemploi.urssaf.fr
Le site de la CAF : http://www.caf.fr/

J'ai retrouvé mon excroissance


Mère d'une grande fille de 4 ans, j'ai eu un bébé cet été. A l'heure où j'écris, il a 4 mois. Grâce à lui, j'ai retrouvé mon excroissance à 4 roues : ma poussette.
Ma poussette, c'est une sorte de bout de moi, un truc à capote, avec des sangles, un habillage pluie pour les jours - trop nombreux - où Paris se noie et plein de bazar dans le panier en-dessous (marrons, feuilles, bâtons, cailloux, pâquerettes, coquillages , tout dépend du lieu, de la saison et des envies de mon aînée qui s'en sert comme d'un vide-poche).
Comme le facteur en goguette, je pousse devant moi ma progéniture, petit bonhomme harnaché, encapuché, caché sous son bonnet et sa chancelière, ce drôle de sac de couchage zippé et moelleux qui protège mon chouchou du froid.

Dans le métro, dans le bus, au parc et dans les boutiques, je trimballe ma poussette au pas de charge.
Portée sur la hanche au fil des marches du métro, ce mode de transport si pratique qui se donne si difficilement aux famille, ma poussette se faufile entre les portillons.
"Bonjour Monsieur, si je valide mon pass, je peux entrer par l'arrière ?" Dit avec un sourire, ça passe la plupart du temps. Voilà pour le bus.
"Pardon... Pardon ? Paaaardon !", ça c'est au supermarché, face au client totalement absorbé par le rayon pâtes... Pas de panier pour la conductrice de poussette, pas de chariot, les produits sont directement jeté dans le filet de son véhicule au risque, parfois, d'oublier de payer certains articles. Les vigiles devraient plus se méfier des mères de famille !

Aujourd'hui je vis dans le 17e arrondissement, les trottoirs y sont larges. Mais quand mon aînée a vu le jour, nous étions dans le Marais. Et, les trottoirs y étant minuscules, la poussette y était un sport de combat ! Zigzaguer, klaxonner, monter, descendre, éviter les voitures... La poussette, à Paris, n'est définitivement pas une discipline ouverte à tous !

J'ai donc retrouvé mon excroissance. Avec bonheur, il faut le reconnaître. J'aime conduire ma poussette, m'appuyer sur elle, doubler les gens... Me donner le frisson d'une conduite sportive... M'adapter, sur 4 petites roues de plastique, au rythme frénétique de la vie parisienne.

Paris en famille ? Mode d'emploi !


Femme, mère de jeunes enfants, quasi trentenaire, amante, cuisinière, journaliste au 4/5e, employeuse, recruteuse, modeuse modérée mais intéressée, Vélib'euse... et surtout parisienne !
Il est probable que ces mots, qui me définissent, fassent écho à de nombreuses jeunes femmes quasi trentenaires, mère, amantes et parisiennes.
C'est parce que la vie en famille à Paris est une jungle, splendide, luxuriante, follement drôle, mais une jungle quand même, qu'aujourd'hui j'ouvre ce blog. Dans l'espoir de partager et d'échanger bons plans, galères et moments de vie !
Bienvenue ici, bienvenue à Paris en famille !